Jeha … le fou
Un jour, jeha rencontre un ami qu'il n'a pas vu depuis longtemps et l'invite à déjeuner chez lui.
En rentrant, jeha ramène deux poulets et demande à sa femme de les préparer.
La femme de jeha met à cuire les poulets. Peu après, elle sent la bonne odeur et goute un morceau.
Mais son plat est tellement délicieux qu’elle ne peut s’empécher de tout manger.
Peu après, jeha arrive avec son ami et demande à sa femme de les servir.
L’épouse de jeha lui dit qu’elle ne peut rien servir parce qu’il n’y a plus de pain.
Pas de problème, je vais en chercher répond jeha.
La femme de jeha cherche une idée pour se tirer de cette mauvaise situation.
Elle s’approche de l’invité pour lui dire : sais –tu pourquoi mon mari t’a invité ?
Parce que nous sommes amis répond –il
Non, pas du tout, jeha est devenu fou lui dit –elle.
Il croit que pour guérir il doit manger des oreilles d’homme, explique –t-elle en faisant semblant de pleurer.
L’invité commence à avoir très peur et décide de partir avant qu’il ne soit trop tard.
Au moment ou l’ami cherche à s’enfuir, jeha arrive, souriant ; et dit allons manger, je sens que cela va être très bon…
Doucement, la femme de jeha lui dit à l’oreille : tu sais, ton ami a pris les deux poules cuites et cachées sous ses vêtements.
Jeha se met alors très en colère et devient comme fou.
Voyant cela, l’ami de jeha part en courant pour ne pas se faire manger les oreilles.
Jeha lui court après et lui crie : donne-moi au moins une .si tu m’attrapes, lui répond l’autre, tu peux prendre les deux.
En rentrant, jeha ramène deux poulets et demande à sa femme de les préparer.
La femme de jeha met à cuire les poulets. Peu après, elle sent la bonne odeur et goute un morceau.
Mais son plat est tellement délicieux qu’elle ne peut s’empécher de tout manger.
Peu après, jeha arrive avec son ami et demande à sa femme de les servir.
L’épouse de jeha lui dit qu’elle ne peut rien servir parce qu’il n’y a plus de pain.
Pas de problème, je vais en chercher répond jeha.
La femme de jeha cherche une idée pour se tirer de cette mauvaise situation.
Elle s’approche de l’invité pour lui dire : sais –tu pourquoi mon mari t’a invité ?
Parce que nous sommes amis répond –il
Non, pas du tout, jeha est devenu fou lui dit –elle.
Il croit que pour guérir il doit manger des oreilles d’homme, explique –t-elle en faisant semblant de pleurer.
L’invité commence à avoir très peur et décide de partir avant qu’il ne soit trop tard.
Au moment ou l’ami cherche à s’enfuir, jeha arrive, souriant ; et dit allons manger, je sens que cela va être très bon…
Doucement, la femme de jeha lui dit à l’oreille : tu sais, ton ami a pris les deux poules cuites et cachées sous ses vêtements.
Jeha se met alors très en colère et devient comme fou.
Voyant cela, l’ami de jeha part en courant pour ne pas se faire manger les oreilles.
Jeha lui court après et lui crie : donne-moi au moins une .si tu m’attrapes, lui répond l’autre, tu peux prendre les deux.
**********************************
Une affaire de chaleur
Un après-midi, dans son village, jeha s’amuse et rit avec des amis.Dans la discussion, les amis de jeha le mettent au défi de passer une nuit seul dans la montagne sans feu, sans lumière et sans nourriture. Jeha leur répond fièrement : je vais la faire.
Une heure après, jeha prend la route de la montagne.
Toute la nuit, jeha a très froid et ne dors pas.
Au lever du jour, jeha veut rentrer très vite chez lui.
Se »s amis lui demandent comment s’est passé la nuit.
Jeha raconte qu’il a eu très froid, entendu des loups et qu’il a vu au loin l’éclat d’une bougie.
Mais, jeha, si tu as vu une bougie, elle t’a éclaire et réchauffé, tu as donc perdu, se moquent ses amis.
Jeha devant accepter cette remarque invite donc ses amis à diner chez lui.
Le soir, jeha accueille chez lui ses amis.
Jeha installe ses amis autour de la table et les fait patienter.
Une heure plus tard, ses amis lui demandent quand arrive le repas promis. Jeha répond : ne vous inquiétez pas, c’est en train de cuire.
Une heure passe encore et un des invités s’exclame : mais, jeha, tu n’as rien préparé, tu te moques de nous!
Jeha convie alors ses invités dans la cuisine et leur montre la marmite chauffée par une bougie .ses amis sont très surpris.
Ne soyez pas surpris, leur dit-il : si une bougie au lion m’éclaire et me réchauffe dans la montagne, alors elle pourra surement cuire cette marmite, non?
******************************************
Jeha, son fils et l'âne
Jeha dit un jour à son fils, alors qu'il atteignait sa douzième année:
"Demain, tu viendras avec moi au marché."
Tôt le matin, ils quittèrent la maison. Jeha s'installa sur le dos de l'âne, son fils marchant à côté de lui. A l'entrée de la place du marché, Jeha et son fils furent l'objet de railleries acerbes:
Regardez-moi cet homme, il n'a aucune pitié ! Il est confortablement assis sur le dos de son âne et il laisse son jeune fils marcher à pied."
Jeha dit à son fils:
"As-tu bien entendu? Demain tu viendras encore avec moi au marché!l"
Le deuxième jour, Jeha et son fils firent le contraire de la veille: le fils monta sur le dos de l'âne et Jeha marcha à côté de lui. A l'entrée de la place, les mêmes hommes étaient là, qui s'écrièrent
Regardez cet enfant, il n'a aucune éducation, aucun respect envers ses parents. Il est assis tranquillement sur le dos de l'âne, alors que son père, le pauvre vieux, est obligé de marcher à pied!"
Jeha dit à son fils:
"As-tu bien entendu ? Demain tu viendras de nouveau avec moi au marché!"
Le troisième jour, Jeha et son fils sortirent de la maison à pied en tirant l'âne derrière eux, et c'est ainsi qu'ils arrivèrent sur la place. Les hommes se moquèrent d'eux:
Regardez ces deux idiots, ils ont un âne et ils n'en profitent même pas. Ils marchent à pied sans savoir que l'âne est fait pour porter des hommes."
Jeha dit à son fils:
"As-tu bien entendu? Demain tu viendras avec moi au marché!"
Le quatrième jour, lorsque Jeha et son fils quittèrent la maison, ils étaient tous les deux juchés sur le dos de l'âne. A l'entrée de la place, les hommes laissèrent éclater leur indignation:
"Regardez ces deux-là, ils n'ont aucune pitié pour cette pauvre bête!"
Jeha dit à son fils:
"As-tu bien entendu? Demain tu viendras avec moi au marché!l"
Le cinquième jour, Jeha et son fils arrivèrent au marché portant l'âne sur leurs épaules. Les hommes éclatèrent de rire:l "Regardez ces deux fous, il faut les enfermer. Ce sont eux qui portent l'âne au lieu de monter sur son dos."
Et jeha-Hoja dit à son fils:l "As-tu bien entendu ? Quoi que tu fasses dans ta vie, les gens trouveront toujours à redire et à critiquer."
"Demain, tu viendras avec moi au marché."
Tôt le matin, ils quittèrent la maison. Jeha s'installa sur le dos de l'âne, son fils marchant à côté de lui. A l'entrée de la place du marché, Jeha et son fils furent l'objet de railleries acerbes:
Regardez-moi cet homme, il n'a aucune pitié ! Il est confortablement assis sur le dos de son âne et il laisse son jeune fils marcher à pied."
Jeha dit à son fils:
"As-tu bien entendu? Demain tu viendras encore avec moi au marché!l"
Le deuxième jour, Jeha et son fils firent le contraire de la veille: le fils monta sur le dos de l'âne et Jeha marcha à côté de lui. A l'entrée de la place, les mêmes hommes étaient là, qui s'écrièrent
Regardez cet enfant, il n'a aucune éducation, aucun respect envers ses parents. Il est assis tranquillement sur le dos de l'âne, alors que son père, le pauvre vieux, est obligé de marcher à pied!"
Jeha dit à son fils:
"As-tu bien entendu ? Demain tu viendras de nouveau avec moi au marché!"
Le troisième jour, Jeha et son fils sortirent de la maison à pied en tirant l'âne derrière eux, et c'est ainsi qu'ils arrivèrent sur la place. Les hommes se moquèrent d'eux:
Regardez ces deux idiots, ils ont un âne et ils n'en profitent même pas. Ils marchent à pied sans savoir que l'âne est fait pour porter des hommes."
Jeha dit à son fils:
"As-tu bien entendu? Demain tu viendras avec moi au marché!"
Le quatrième jour, lorsque Jeha et son fils quittèrent la maison, ils étaient tous les deux juchés sur le dos de l'âne. A l'entrée de la place, les hommes laissèrent éclater leur indignation:
"Regardez ces deux-là, ils n'ont aucune pitié pour cette pauvre bête!"
Jeha dit à son fils:
"As-tu bien entendu? Demain tu viendras avec moi au marché!l"
Le cinquième jour, Jeha et son fils arrivèrent au marché portant l'âne sur leurs épaules. Les hommes éclatèrent de rire:l "Regardez ces deux fous, il faut les enfermer. Ce sont eux qui portent l'âne au lieu de monter sur son dos."
Et jeha-Hoja dit à son fils:l "As-tu bien entendu ? Quoi que tu fasses dans ta vie, les gens trouveront toujours à redire et à critiquer."
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire